Vote de confiance : Emmanuel Macron reçoit François Bayrou et les chefs du camp gouvernemental à l’Élysée

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(FILES) France's Prime Minister Francois Bayrou (L) looks on as France's President Emmanuel Macron delivers a speech to army leaders at Hôtel de Brienne in Paris on July 13, 2025, on the eve of the annual Bastille Day Parade in the French capital. Analysts expect Bayrou and his government to fall on September 8, 2025 after just over half a year in office, with both the far right and left-wing parties vowing to vote against his minority administration. President Emmanuel Macron will then need to decide if he reappoints Bayrou, chooses a new premier who would be the seventh government chief of his presidency, or calls snap legislative elections. (Photo by Ludovic MARIN / POOL / AFP)

Emmanuel Macron a réuni mardi à l’Élysée pour déjeuner le Premier ministre François Bayrou et les chefs des partis membres de sa coalition gouvernementale, a affirmé à l’AFP l’entourage d’un participant.

Réunion de crise à l’Élysée. Emmanuel Macron a invité les dirigeants du camp gouvernemental, ce mardi 2 septembre, pour tenter de sortir de l’impasse, a-t-on appris, confirmant les informations du Figaro. Le Premier ministre François Bayrou, Edouard Philippe (président d’Horizons), Gabriel Attal (secrétaire général de Renaissance) et Bruno Retailleau (président de LR) ont été conviés à déjeuner.

À six jours d’un vote de confiance à l’Assemblée nationale qui devrait déboucher sur la chute du gouvernement Bayrou, le président de la République compte, selon nos confrères, les mettre devant leurs « responsabilités », en passant avec eux en revue les options.


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L’objectif d’Emmanuel Macron est de tenter d’élargir la majorité relative à l’Assemblée nationale, en grappillant des voix côté socialiste (66 députés), malgré leur ferme opposition au gouvernement Bayrou, et du côté des élus hétéroclites du groupe Libertés, indépendants, outre-mer et territoires (Liot).

Appelé à gauche et au Rassemblement national à dissoudre de nouveau l’Assemblée nationale, voire à démissionner, le chef de l’État est « tenté d’écarter la première hypothèse et a exclu la deuxième », rapporte Le Figaro.

L’Élysée n’a pas fait de commentaire dans l’immédiat.

Article leParisien

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