ArcelorMittal redit son « intention » d’investir 1,2 milliard d’euros à Dunkerque, mais maintient son plan social

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FILE PHOTO: A logo of ArcelorMittal steel group is seen at the company's site in Basse-Indre near Nantes, France, November 26, 2024. REUTERS/Stephane Mahe/File Photo

Le deuxième sidérurgiste mondial, aux prises avec une crise historique de l’acier en Europe, envisage de supprimer environ 600 postes dans sept sites industriels du nord de la France.

ArcelorMittal, qui envisage de supprimer plus de 600 postes, a redit ce jeudi son « intention » d’investir 1,2 milliard d’euros à Dunkerque, mais maintient son plan social. Mardi soir, Emmanuel Macron affirmait sur TF 1 « les yeux dans les yeux » que les sites de Dunkerque (Nord) et Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) seraient « sauvés », tout en refusant une nationalisation de l’entreprise.

Des salariés d’ArcelorMittal de toute la France ont manifesté mardi en région parisienne pour défendre leurs emplois. Le sort des métallos mobilise dans la classe politique, de la gauche qui réclame, comme la CGT, une nationalisation des hauts fourneaux français, à l’ancien ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, qui a estimé qu’il fallait « tout » faire pour sauver ArcelorMittal à Dunkerque, sans exclure une nationalisation « temporaire » et « de dernier recours » si l’entreprise ne remplissait pas ses obligations.

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