Kristen Stewart et Anne Hathaway rayonnantes pour l’ouverture très politique du Festival de Berlin

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Ce jeudi soir se déroulait l’ouverture du 73e Festival de Berlin. Si les stars américaines ont assuré le glamour sur le tapis rouge, ce sont les prises de parole du président ukrainien Volodymyr Zelensky et l’actrice iranienne Golshifteh Farahani qui ont bouleversé la Berlinale.

Le 73e Festival de Berlin sera politique ou ne sera pas. En ces temps troubles, chaque prise de paroles est nécessaire et le monde du cinéma ne peut pas s’affranchir de la triste réalité. Bien sûr, la guerre n’a pas attendu 2023 pour se manifester, et l’on peut regretter que les conflits ne provoquent pas tous la même empathie, mais dans la capitale allemande longtemps séparée par un mur, les mots ont un sens et une portée. Présenté par Sean Penn qui a co-réalisé un documentaire sur lui qui sera projeté lors de la Berlinale, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, par message interposé, a d’abord rappelé combien chaque soutien compte, en Europe et dans le monde, pour que l’Ukraine repousse l’offensive russe sur son sol. L’actrice Golshifteh Farahani, membre du jury, a quant à elle, évoqué le sort du peuple iranien, qui se bat pour sa survie, implorant l’Allemagne, la France, l’Europe à l’aider à renverser la dictature de Téhéran.

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Ce jeudi soir était présenté en ouverture et hors compétition le premier film de la Berlinale, « She Came to Me » de l’Américaine Rebecca Miller, avec Peter Dinklage, Marisa Tomei et Anne Hathaway. La star américaine, également co-productrice du film, a rappelé lors de la conférence de presse, que Zelensky était « un héros de notre époque » et a remercié le festival « de donner à tous l’opportunité d’amplifier le message de l’Ukraine: le désir presque u(…)

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